Ce soir, c’est dans la magnifique banlieue industrielle et pétrolière lyonnaise qu’il faut se rendre. Non pour visiter les raffineries, mais pour assister au concert d’ISIS, qui partage l’affiche avec Jakob et The Austerity Program, à L’Epicerie Moderne.

Nous sommes en 1999 et Soundgarden a splitté depuis deux ans… Loin de se laisser abattre par la fin du groupe qui l’a fait connaître, Chris Cornell sort son album solo, mélange de folk-rock et de blues inspiré, dans lequel le chanteur/guitariste donne la pleine mesure de son talent de compositeur.

Attention les yeux et les oreilles, le festival picard explose tout cette année, avec une affiche qui met la patate (rires). Non, mais sans blague : cru exceptionnel que le millésime 2008.

Le groupe Septicflesh est de retour. Les métalleux grecs (anciennement Septic Flesh) nous avaient en effet laissés en 2003 sur le grandiose Sumerian Daemons et il y avait toutes les raisons de croire que cet album serait le dernier.

Le Consortium Canadien à dénomination variable revient avec un nouvel album. Qu’ont-ils de nouveau à proposer ? Rien. La formule qui fait leur succès change bien moins que leur nom : des chœurs, des grandes montées en puissance, des cordes découvrant l’électricité au milieu des morceaux et un leader qui chante toujours aussi faux.

Sélection d’avril des clips alternatifs. Ce mois-ci, le poisson frais est de premier choix : les B52’s, les Kooks, et même une baleine du nom de Moby…

C’était un festival alternatif en toute simplicité, qui a su grandir pour accueillir sur la presqu’île du Gaou, près de Toulon, les plus prestigieux artistes. Cette année, Ben Harper, Morcheeba, Justice et ZZ Top vont faire vibrer les cigales.

Les Eurocks tapent encore, et toujours aussi fort. Cette année, de beaux noms, voire de très beaux noms, seront en haut de l’affiche de ce festival à ne pas manquer : Ben Harper, Massive Attack, Moby, the Offspring… Miam !

Nous sommes en 1992, les Red Hot Chili Peppers cartonnent avec Blood Sugar Sex Magik mais se retrouvent désœuvrés après le départ de Frusciante, incapable d’assurer son poste. Après avoir essayé une paire de remplaçants, c’est finalement Dave Navarro, ancien Jane’s Addiction, qui reprend le flambeau, permettant aux Red Hot d’enregistrer un de leurs meilleurs albums.

Un coup d’œil à la pochette suffira à convaincre les plus sceptiques : ceci n’est pas un album de death-metal. Une petite explication s’impose.