Il est des retours auxquels on ne croyait plus, à notre grand désarroi. Depuis 1998, tout portait à croire que la carrière de Portishead se résumerait à deux bijoux de trip hop et un album live synthétisant leur carrière.
Mais voilà qu’ils reviennent, enfin !

Le groupe Septicflesh est de retour. Les métalleux grecs (anciennement Septic Flesh) nous avaient en effet laissés en 2003 sur le grandiose Sumerian Daemons et il y avait toutes les raisons de croire que cet album serait le dernier.

Oui, bon, d’accord, cette chronique porte sur un produit qui est loin d’être de première jeunesse (2004 !) et en plus, ma réputation d’asociale dame en noir va en prendre un coup, puisqu’on est bien loin du rock n’roll trop mortel qui tue tellement il a mal à la vie.

La curieuse alliance du prince de la musique électronique froide et du génie musical classique absolu.